Fanfiction World of Warcraft

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Le dernier seigneur

Par BeBe

Prologue

Chapitre 1 : Le fameux rêve

Chapitre 2 : Audrey

Chapitre 3 : Le magicien de la tour : Ifdag

Chapitre 4 : Les balades dans Strifeheart.

Chapitre 5 : Le départ

Chapitre 6 : Direction Grich

Née de parents inconnus, un garçon âgé de six ans est recueilli par une femme veuve vivant dans la grande cité de Strifeheart. Elle le baptisa Loka, en signe de vie et de puissance. C'était un enfant très dynamique et il réclamait tout le temps son papa, mais pas sa maman car il pensait l'avoir avec sa mère adoptive. Elle lui répondait tout le temps qu'il était mort à cause d'une maladie contractée par son ancêtre pendant la bataille du siècle dernier, la célèbre bataille des Seigneurs, et que cette maladie était transmise à chaque garçon mais que, par miracle, il y avait échappé.

Onze ans après, Loka est âgé de dix-sept ans et a beaucoup changé. Sa plus grande importance physique sont ses cheveux ; Au début il changeait chaque jour de coupe de cheveux, mais désormais il en a trouvé une à sa convenance, grâce à un ami de sa mère qui est magicien il laisse ses cheveux en pique, comme des stalagmites. Des yeux d'un bleu océan, un corps qui fait craquer les jeunes demoiselles... de quoi bien se sentir dans sa peau.

Mais ce n'était pas le cas. Loka ressentait un malaise persistant en lui depuis un moment. Il ne savait pas ce que c'était, mais il le ressentait. Cette chose qui l'empêchait de dormir certaine nuit ou lorsqu'il arrivait à dormir, lui faisait faire des cauchemars horribles ou il voyait la fin du monde ...

Il décida donc d'essayer de remédier à ce qui lui arrive. Il alla donc d'abords trouver l'amie de sa mère, cette magicienne qui lui a jeté un sort pour faire tenir ses cheveux tout le temps, mais elle ne pensait rien de son cas. Elle lui dit que s'étais juste une période de sa vie mais qu'il n'y avait rien de grave et que ça allait passer avec le temps.

Mais après quelques mois, le problème persistait toujours et Loka voulait s'en débarrasser une bonne foi pour toutes et il alla donc trouver le magicien de Strifeheart dans sa tour. Celui-ci s'appelant Ifdag et étant très occupé, n'avait pas de temps à perdre pour Loka, et donc il lui dit de rentrer chez lui et de se débrouiller tout seul. Mais Loka était décidé à se débarrasser de son problème et il força donc le bureau de la secrétaire de Ifdag, car le bureau de Ifdag se trouvait derrière celui-ci. Ifdag, surpris, se retourna en sursaut pour voir ce qui se passait.

Lorsque Loka entra dans le bureau du magicien, il y avait des tas de livre partout, sûrement des grimoires d'ailleurs. Il y avait deux fauteuils, sûrement pour les invités, mais qui étaient hors d'usage car ils étaient très vieux et très sales et ils étaient aussi envahis par des livres. La seule chose qui préoccupa Loka était un bocal rempli d'eau sur une étagère d'où une sphère ronde tourbillonnait dans l'eau.

- Que fais-tu ici petit-homme, déclara Ifdag d'une voix forte et stridente. Je ne t'ai pas permis d'entrer dans mon bureau. Je suis très occupé et je n'ai pas de temps à perdre avec tes histoires de pacotille.

- Vous devez m'aider, vous êtes le seul à pouvoir me dire ce que j'ai, répondit Loka.

- Je n'ai pas le temps pour ça, débrouille-toi seul comme le ferait un homme.

- Mais je ne suis pas un homme, je suis encore un enfant pour vous.

- GRrrrr, bon quel est ton problème petit ?

- Je ressens quelque chose en moi... quelque chose qui me perturbe, qui me fait cauchemarder de la fin du monde ou qui même des fois m'empêche de dormir... et ceux depuis un moment déjà. J'aimerais que cela n'arrive plus, j'aimerais dormir tranquillement au moins douze heures chaque jour, s'il vous plait.

- Raconte-moi cette fin du monde dont tu rêves... cela m'intéresse.
- Le ciel est rouge, les nuages sont noirs, le vent ne souffle plus pour laisser entendre des bruits de corne d'ennemis lointains mais se rapprochant, puis souffle à nouveau fortement pour nous tromper et nous perturber. Le morale est au plus bas, les citoyens de la ville n'ayant pas vu le soleil depuis déjà quelques jours, n'osent même plus sortir de chez eu de peur que le ciel leur tombe sur la tête. Les guerriers, les magiciens, les soldats du roi, et toutes les autres personnes sachant combattre sont prêtes, épée, hache ou bâton en main, à se défendre jusqu'à leur mort. Des alliers venu du Nord, les Nains, de l'Est, les Elfes, et toutes autres contrées humaines de l'Ouest se sont regroupés pour participer à la bataille.

Mais quelle bataille ? Y avait-il vraiment un ennemi ou juste un changement de temps ? Ils n'en savaient rien mais ils savaient qu'une bataille allait avoir lieu ici même dans cette cité et que ce n'était pas uniquement le sort de cette cité mais du monde. Quel que soit l'ennemi, ils savaient tous qu'il fallait se battre jusqu'au bout.

Puis d'un coup, plus rien, plus un bruit, plus un brin de vent. Les alliers étaient prêts. Et soudain, venus du Sud, derrière la colline, huit Seigneurs surgirent sur de grands chevaux noirs, armés d'épée ou de fléau, et reprirent les tambours et les cornes mais cette fois-ci ils étaient juste là. Derrière cette colline se dressait des millions d'ennemis de toutes sortes : des orques, des monstres sur terre et dans l'air, des sorciers revenus de l'enfer...

Mais les alliés avaient prévus une grande et terrible bataille, c'est pourquoi elle a tourné en leur faveur, et les alliés gagnèrent cette bataille.

- Intéressant, voir même très intéressant... sais-tu ce que représente ton rêve ?

- Non, je ne sais pas. Que représente-t-il ?

- Il représente la grande bataille des Seigneurs. Mais tu m'as l'air jeune et donc je ne pense pas que tu ais participé à cette bataille, donc la question que je me pose c'est pourquoi en rêves-tu ? Et je ne trouve pas la réponse. Laisse-moi, que je puisse réfléchir.

Loka s'en alla donc sans réponse, pour le moment, à part que maintenant il savait que représentait ce rêve. Il décida donc d'aller à la grande bibliothèque pour y trouver des renseignements plus approfondis sur cet évènement. Il n'apprit rien à part que l'un des huit Seigneurs avait disparu après la bataille, mais rien d'important ni de grave, ni quelque chose qui aurait pu l'aider.

Puis en sortant, une fille, non que dis-je, une déesse passa devant Loka, le regarda, et lui fit un sourire... Et Loka la regarda s'en aller dans la direction opposé à la sienne. Ce regard suffit à Loka pour comprendre que cette fille était unique. Lorsqu'il pris conscience qu'il était toujours devant la bibliothèque à rêvasser, il voulut la rattraper, mais elle était déjà partie.

Mais cette nuit là, il rêva d'elle, se remémorant au ralenti se court passage ou ils s'étaient vus, juste devant la bibliothèque, avec ce petit sourire. Et ce remémorant ce passage, il se rendit compte qu'il n'avait pas rêvé de la bataille des Seigneurs. Ce qui l'encourageât à la revoir, et cela lui donna aussi un moyen de se guérir.
Audrey est la jeune fille que Loka a aperçue devant la bibliothèque. Elle a les cheveux blonds, tel un reflet de soleil, son visage est tel un ange sans ailes. Elle est âgée de dix-sept ans, comme Loka, et vie dans le quartier pauvre de Strifeheart avec ses parents. Ses parents ne travaillent pas, donc Audrey est obligée de travailler. Elle travaillait au quartier riche, pour des riches. Elle était une bonne certains jours avec certaines personnes, et d'autres fois, elle était marchande pour des riches, et bien entendu, toute la recette allait aux personnes riches. Tout ce travaille suffisait à peine à nourrir Audrey et ses parents, et du coup, ils n'avaient pas assez d'argent pour leurs loisirs ou pour s'amuser. Le peu de temps que possède Audrey, c'était un après-midi qu'elle choisissait et qu'elle le passait à la bibliothèque à lire des histoires d'aventure, des légendes de guerres, car tout cela la passionne. Mais Audrey était malheureuse car elle travaillait tous les jours au moins huit heures. Quand elle rentrait, elle devait s'occuper de ses parents car son père a perdu une jambe lors de l'une de ses aventures, et sa mère souffre de tancra, une maladie qui rend vieux. Ses parents ne peuvent donc pas travailler. Audrey ramène l'argent seule à la maison, elle doit s'occuper de toutes les corvée et n'a même plus de temps pour dormir ou pour elle. Elle est fatiguée...

Loka ne savait pas où elle était passée, mais il voulait absolument la retrouver. Ce regard a suffit pour lui... Après avoir interpellé plusieurs personnes pendant plusieurs jours, Loka ne l'avait toujours pas retrouvée. Mais un jour, ayant prit goût à la lecture et à la bibliothèque, Loka lisait tranquillement un livre quand Audrey vint s'installer juste à coté de lui à la même table. Loka n'en revint pas, il la cherchait depuis déjà plusieurs jours, et c'est elle qui vint à lui. Audrey le regarda et lui fit le même sourire que la première fois qu'ils s'étaient vus, puis plongea dans la lecture d'un livre sur la ville de Mistégo. Loka la regarda mais ne répondit pas au sourire de Audrey. Puis il décida de la regarder. Plus il l'observait, plus il la trouvait belle. Enfin, Audrey leva le regard de son livre, et dit :

- Il y a un problème ?

- Non, aucun. Juste que tu es très belle. Répondit Loka.

Et Audrey lui fit un sourire en baissant la tête, gêner. Puis Loka repris :

- Comment appelles-tu ?

- Audrey, et toi ?

- Loka. Tu aimes bien lire ?

- Oui, c'est une passion pour moi, quand je ne suis pas en train de travailler...

- De travailler ? Comment ça ?

Et Audrey lui raconta pourquoi elle travaillait, et lui raconta aussi l'historie de ses parents :

- Mon père était un aventurier, il adorait trouver des trésors ou autres objets de grande valeur. Autrefois nous étions riches, mais maintenant nous sommes pauvres. Lors d'une aventure, mon père a trouvé dans une grotte non loin de Strifeheart un énorme rocher d'ébonite. C'était sa plus grosse trouvaille, je n'étais alors âgée que de trois ans. Ne pouvant l'emmener, car l'ébonite est une pierre très lourde, il voulu quand même que ma mère le voit. Il est donc rentré à la maison pour chercher ma mère, a repris des provisions et une lourde pioche pour essayer de prendre un fragment d'ébonite. Ils retournèrent donc à la grotte, et ma mère était stupéfaite de cette trouvaille. Mon père frappa une fois avec la pioche l'ébonite, et rien ne se passa. Mais, pendant son deuxième coup, quelque chose se passa. Une chose tomba du haut de la grotte, comme une chenille géante, lança d'abord un sort de tancrése sur ma mère, puis avec son dard, blessa mon père à la jambe droite. C'était en faite un cateros qui gardait la grotte. Puis, le cateros approcha sa tête vers mon père, comme si elle allait le manger, mais mon père eu le réflexe de prendre la pioche et de la planter sur la tête du cateros. Celui-ci mourra après une minute d'agonie. Ma mère était allongée au sol, évanouie, et mon père n'arrivait plus à bouger sa jambe. Ils seraient morts à cette heure si ma mère n'avait pas pensé à laisser un message à la bonne comme quoi ils étaient partis et qu'ils reviendraient le soir même. Mais le lendemain matin, la bonne vit qu'ils n'étaient toujours pas rentrés et avertit la garde qui s'empressât de venir nous secourir. Mes parents durent dépenser tout l'argent que nous avions en réserve pour se guérir, mon père d'une mort certaine, et ma mère pour ralentir le tancra. Et voilà, après ça nous sommes devenus pauvres, et depuis quatre ans, c'est-à-dire depuis que j'ai treize ans, je travaille pour les riches afin que je puisse continuer à vivre et mes parents aussi. Le peu de temps que je possède, je le passe ici, à la bibliothèque.

- Je suis vraiment désolé pour ce qui est arrivé à tes parents, et ce que tu dois subir du coup. Si je peux t'aider en quoi que se soit, n'hésite pas à me demander, je t'aiderai du mieux que je peux.

- Merci.

Puis, Audrey et Loka se regardèrent un moment, avant de replonger dans leur livre, puis dans une autre discussion. Ils parlèrent du roi et de la reine, des gardes royales et du château. L'après-midi se finissant dans la soirée pour eux, Audrey remarqua qu'il était déjà très tard et qu'elle avait du travail chez elle. Audrey s'en alla donc assez rapidement, en jetant un dernier sourire à Loka, qui lui avait complètement oublié ses problèmes de rêve. Mais quelqu'un n'avait pas oublié...
Depuis un moment, Ifdag ne sortait de sa tour que pour aller en dehors de StrifeHeart. Mais que faisait-il ? Que préparait-il ? Tous les villageois de Strifeheart l'on toujours trouver bizarre et en ont peur, car c'est le seul grand magicien de Strifeheart. La plupart disent qu'il est inoffensif, mais d'autres pensent qu'il est beaucoup plus puissant que l'on ne le croit. Une agitation se sent en lui, certains la sentent aussi. Quelques personnes se demandent ce qu'il fait ou ce qu'il prépare. Mais personnes le sait. Ni la secrétaire, ni même le roi ou la reine, car Ifdag a déjà conseiller la famille royale dans certain conflit.

Le magicien ne préparait rien, il se posait juste toujours la même question :

-« Pourquoi est ce que Loka rêve t-il d'une bataille datant d'un siècle alors qu'il n'y était pas, et qu'il ne sait pratiquement rien de cette bataille ? »
Une question qui mérite une réponse, Ifdag se doit de la trouver. C'est pourquoi il cherche dans les livres, prophéties, légendes ou autres informations qui pourraient apporter des explications. Il connaît les livres de sa tour par coeur, et il sait que rien n'est dit à ce sujet, mais la grande bibliothèque écartée de toutes villes ou peule, Nells, renferme bien des secrets et des mystères à découvrir, dont peut-être celui-là. Donc Ifdag fait des va-et-vient de Nells à sa tour, en ramenant toujours une dizaine de livre de prophéties ou légendes oublies depuis déjà trop longtemps. Mais après avoir lu tous les livres ou il pouvait trouver une réponse, le magicien n'en trouva aucune. Alors comment allait-il trouver une réponse alors que même à Nells il n'y en a pas. Il restait peut-être une solution, mais le magicien ne voulais l'utiliser quand dernier recours : le conseil supérieur des maîtres magicien. Malheureusement, il n'avait désormais plus d'autres solutions. Il se rendit donc à Zird, le palais des maîtres magiciens, qui est à deux jours de Strifeheart à cheval.

Arrivée là-bas le magicien est accueilli par un autre magicien vêtu d'une robe noir foncer, c'est le magicien qui garde le palais.

-« Tiens donc, voilà une personne que l'on espérait ne plus jamais revoir ici. Qu'ais-tu venu faire ? »

-« Je suis venu demander conseil et sagesse au conseil des maîtres magiciens, à moins que celui-ci ne soit trop faible pour aider qui que se soit. »

-« On aurait mieux fait de te supprimer comme je le désirais plutôt que de te bannir du palais. Ne t'avise pas de faire quoi que ce soit ici, nous sommes beaucoup plus forts et beaucoup plus puissant que tu ne le crois. D'ailleurs ou est ton bâton ? »

-« Je n'en ai point besoin ici. »

-« Hahahaha, un magicien qui se balade sans son bâton, tu es vraiment minable. Mais je vais quand même te laisser entrer, et peut-être qu'ils te laisseront parler... »

Qu'avait-il bien pu se passer pour que l'on traite Ifdag de la sorte ? Le mystère allait bientôt être révéler...

Lorsque Ifdag entra dans la salle du cercle, là où se réunissaient les grands magiciens pour les réunions en cas de conflits, un nouveau grand magicien vêtu cette fois d'une cape marron pris la parole :

-« Regardait qui voilà, Ifdag, ancien maîtres magicien de Zird, désormais bouche trou de la famille royale de Strifeheart et banni du palais de Zird. Qu'est ce qui t'amène ici, Ancien. »

-« Je viens demander conseil et sagesse auprès du cercle. »

-« Conseil ? Qu'as-tu fait de nos conseils il y a un siècle ? Comment ose-tu nous demander conseil alors qu'à cause de toi des dizaines de milliers de personnes sont mortes, qu'as-tu fais de la sagesse à ce moment là ? » Rétorqua le deuxième des cinq magiciens assis tout autour de la table, qui n'arrêtais pas de faire balancer son bâton.

-« J'ai fais ce qui devait être fait, maintenant, peut-être qu'un nouveau problème se pose aujourd'hui, et si vous ne souhaitez pas l'entendre, alors je m'en irais sur le pas. Croyez-moi bien que je n'avais pas non plus envie de vous revoir, mes anciens amis. »

-« Tu as été banni de cet endroit, nous t'acceptons car cela fait un moment depuis ton erreur, mais tu n'es pas obligé de te montrer hostile envers nous. »Repris un autre magicien, celui la déjà moins agressif que les autres, et plus inquiet sur ce qu'avait à dire Ifdag que les autres magiciens réunis autour de la table.

-« Bien, présente-nous ton problème, magicien du Nord, et nous te conseillerons avec la plus grande sagesse possible. »Dis un quatrième magicien, bien plus grand que tous les autres, et apparemment beaucoup plus sage que les autres.

Ifdag leur présenta donc le problème, sur le rêve de Loka, en espérant avoir enfin des informations. Après plusieurs minutes d'explications ou il parla de ses recherches qu'il avait faites et un petit peu de Loka, car il ne le connaissait pas vraiment.

-« Et bien, je ne vois pas pourquoi l'on devrait s'inquiéter à ce sujet. Ce n'est qu'un rêve sa mère lui en a sans doute parler et il en a rêver, rien de grave. »

-« Tes dont de magicien s'obscurcirait -il, Ifdag ? »

-« Je suis encore en excellente forme et je possède encore toutes mes compétences, à ta déception. Sa mère ne lui en a pas parler, juste mentionner que son père était mort à cause d'une maladie contracter par ses ancêtres, la Karcet. Et il ne connaît rien sur cette bataille, il en avait jamais entendu parler. Alors pourquoi en a t-il rêver avec tant de description, de sentiment, mais n'en ayant jamais entendu parler, juste mentionner, et ne connaissant rien de cette bataille ? Il y a quelque chose qui ne vas pas ! »

-« Ne dit pas n'importe quoi. Quel mal pourrait se cacher derrière un rêve ? »

-« Mais qui te dit que c'est un rêve ? Ifdag a trahi notre confiance par le passé, et nous savons de quoi il est capable. Nous n'avons pas entendu la parole du petit, mais moi je pense qu ce n'est pas un rêve. »Répondit d'un ton fort et puissant le dernier des magiciens présent, qui n'avait fait depuis le début qu'écouter ses compagnons.

-« Que dis-tu Perfetif, comment cela ne pourrait-il pas être un rêve ? »

-« Disons que certains rêves peuvent être contrôlés par des personnes. On appelle cela une mystification par rêve. »

-« Quoi ? Tu voudrais dire que quelqu'un aurait volontairement fait rêver ce petit de cet événement ? C'est ridicule. Déjà pourquoi cet événement à ce moment précis ? Ensuite pourquoi lui ? »

-« Car il se prépare surements quelque chose de grave. » Ajouta Ifdag d'un ton décidé et enfin moins mystérieux qu'avant, « En ce moment même, un ennemi prépare sûrement quelque chose. Quoi ? On ne peut le savoir-je pense. Qui ? Sa non plus. Mais nous avons peut-être une piste ou plutôt quelqu'un qui pourrait nous être utile. Car si l'on est bien sur d'une chose, c'est que Loka a un rapport. »

-« Tu es venu demander conseil et sagesse au pré du conseil, alors laisse nous faire Ifdag. Ne nous interrompt plus désormais. Tu ferais mieux d'attendre à coté, s'il te plaît. »

Le magicien alla donc dans la pièce d'à cote, et se retrouva avec le garde qui l'avait accueilli. Mais Ifdag n'en fit pas attention, il préférait observait la pièce dans laquelle il se trouvait. Il la connaissait, oh ! oui, du temps ou il faisait parti des maîtres magiciens de Zird. Car il en avait fait parti autrefois, mais un jour, lord d'une mission, il s'opposa à l'ordre donner par les autres mages. Il y eut des morts, mais Ifdag leurs disait que sa aurait été pire autrement, et qu'il avait fait la bonne solution. Il à donc été banni du palais des maîtres magiciens, et il alla s'installer à Strifeheart, dans la grande tour solitaire prés du château royal, et devint l'un des conseillé de la famille royale lors de gros conflits.

Il connaissait donc cette pièce. Oui, il y avait passé tellement de fois lorsqu'il travaillait ici. Cette pièce lui faisait sensation, elle lui faisait ressentir quelque chose, une aura qu'il connaissait bien. Cette aura même, c'est lui qui l'avait crée. C'est l'une des protections principales du palais, une protection tellement puissante qu'elle n'a jamais laissé passer un seul ennemi, et pourtant, il y en eut des ennemis qui ont essayé de pénétrer dans le palais autrefois. Contemplant les murs, il se rappelait ce bon temps, lorsque la porte de la salle de réunion s'ouvra. Perfetif apparu, s'avança vers Ifdag et se mit à parler :

-« Nous avons réfléchi, et nous en avons conclu plusieurs choses : Pour commencer, la mystification par rêve ne peut-être utiliser uniquement dans un court rayon, ce qui signifie que la personne qui provoque ses rêves à Loka est dans la citée de Strifeheart. De plus, la mystification par rêve est assez simple à utiliser, et on peut l'apprendre très jeune, donc peut-être qu'un ami à Loka s'amuse à lui faire peur. Pour le moment nous ne voyons aucun réel danger, donc nous nous soucions peut de cette affaire. Mais j'espère que tu n'as pas cru que pendant tout ce temps nous n'avons remarqué uniquement ces deux choses. En faite, il y eut un long débat à ton sujet, et on en a fini par te donner une mission, si bien entendus-tu souhaite nous aider. Donc, comme tu l'as si bien dit et fait remarquer, il se pourrait que se soit un danger et donc il faudrait que quelqu'un s'en occupe. Mais nous nous ne pouvons pas car nous sommes beaucoup occupé comme tu le sais et il n'y a pas vraiment de problème pour le moment. Donc nous aimerions que tu surveille ce petit, que tu t'occupe de lui en cas de problème. Essaie aussi de mener une enquête sur place et de voir ce que tu peux trouver, si tu peux trouve aussi les pratiquant de mysticisme par rêve. Mais d'abord, quelle est ta réponse ? Acceptes-tu de nous aider ou pas ? »

-« Et bien, disons que comme ce n'est pas officiel, j'accepte de vous aider. Mais en contre parti, j'aimerais que vous ayez une meilleure opinion de moi. Car personnellement, je n'ai jamais douté de vous, et je vous ai toujours tenu en haute estime. Alors faite de même s'il vous plaît, car je sais très bien que vous savez de quoi je suis capable. »

-« Je ne doute pas de ce que tu vaux, mais je doute de ce que tu pourrais faire encore. Pour les autres, je pense que c'est pareil, sauf qu'eux ne te considèrent plus comme un des nôtres. Aller maintenant, va, et revient nous voir des que tu as de nouvelle importante a nous dire. »
Ifdag lui fit un signe de reconnaisse puis s'en alla, en route vers Strifeheart avec son cheval, et une mission venant du conseil de Zird, le conseil des maîtres magiciens.
Une semaine passa sans que Audrey et Loka se soit vu, et au bout du cinquième jour, Loka avait recommencé à rêver de la bataille, ce qui l'embêtait beaucoup, en plus qu'il ne voyait plus Audrey. Il décida donc de la chercher et la trouver. Il se rendit donc au quartier pauvre, car c'est la qu'elle habitait, mais personne ne voulait lui répondre, personne ne voulait lui dire ce qui se passait. Est-ce que Audrey avait des problèmes ? Ou bien est ce que les autres ont des problèmes avec Audrey et ses parents ? Il n'en savait encore rien, mais il voulait le découvrir. Il se transforma donc en un petit voleur, espionnant un peu toutes les maisons pour essayer de retrouver un indice qui pourrait lui permettre de retrouver Audrey. S'étais assez compliquer comme tache car il ne fallait surtout pas se faire remarquer sinon tous les pauvres allaient se mettre contre lui, pensant que c'est un voleur qui fait ces repères avant de cambrioler quelques maisons. Donc Loka fit très attention, quite à passer quelques maisons pour ne pas se faire repérer. Au bout d'une journée, il avait déjà observé toutes les maisons du quartier pauvre, et n'avait toujours pas trouver Audrey, ni d'indice, ni d'informations. Le sixième jour, Loka ne savait toujours pas comment retrouver Audrey. Puis, en lisant les informations du matin, Loka tombe sur une rubrique « décès », qui disait :

« Aujourd'hui, une importante nouvelle nous paraît, au sujet de la mort d'une personne, et la disparition d'une autre. La femme du célèbre aventurier Groth vient de décéder, suite au conséquence de tancra. Elle a été brûler hier à l'église du quartier du temple, comme le veut la tradition pour les morts. Après ceci, Groth disparu. On ne sait pas comment. A t'il utilisé un sort de téléportation ou bien est-il tout simplement parti ? Personne ne le sait, mais les personnes les plus proches le recherchent encore aujourd'hui, au cas ou il serait encore en ville. »
Loka eut un choque en lisant sa : Le père d'Audrey a disparu et sa mère est décédée ! Audrey devait être malheureuse, après s'être occupé d'eux tant de temps, la voilà seul, sans famille. Loka étais donc encore plus destiné à la revoir. Il décida de se rendre au quartier du temple ou avait eu lieu la veille la fin de la mère d'Audrey. Le quartier du temple était assez petit, personne n'y vit à part les gens du temple : le grand prêtre de la ville, les apprentis mage, et les sorciers. Loka se dirigea directement au grand temple, et juste devant cette bâtisse était posé une statue d'un grand mage sur un cheval. Le mage était plutôt jeune, mais avait déjà l'air d'avoir une très grande sagesse et une très grande puissance en lui. Une pierre d'ébonite se trouvait accroche sur le bas et il y avait écrit : « En l'honneur de Perfetif, le plus grand magicien que Strifeheart est connu. »

Ce nom ne disait rien à Loka, mais il remarqua que l'ébonite étais entourer d'une petite lueur, sûrement une protection très forte pour protéger la pierre de tout vol. Loka continua sa route et entra dans le temple. Le hall était gigantesque, et il y avait beaucoup de monde, et beaucoup d'agitation. Au milieu se trouvait une table ou plutôt un bureau, avec une femme derrière, ce devait sûrement être la réception. Loka si dirigea pour demander s'il ne savait pas ou se trouvait Audrey :

-« Bonjour, je m'appelle Loka, et je recherche une fille, Audrey. Elle devait être la hier car sa mère était brûler. Sauriez-vous ou pourrais-je la trouver s'il vous plaît ? »

-« Bonjour. Oui elle devait sûrement être la. Il n'y a eu qu'une personne brûler hier, donc je pense que si c'est bien la même fille dont on parle, elle doit être en train de chercher son père. Hier elle a cherché dans le quartier riche après qu'on ai brûlé sa mère, je pense qu'elle doit faire une autre partie de la ville aujourd'hui. »

-« Savez-vous dans quel quartier a-t-elle déjà chercher ? »

-« Eh ! bien, le quartier du temple, le quartier pauvre et le quartier riche, c'est tous ce que je sais, désolé. »

-« Merci beaucoup, sa me suffira largement. Au revoir et merci encore. »

-« Au revoir. »

Il était déjà tard, mais Loka voulut continuer les recherches, et qui plus est avec un peu de chance il tomberait aussi sur son père. Il décida d'aller au quartier marchand. C'était un quartier toujours très actif et agité, car tous les villageois de Strifeheart viennent ici faire leur course ou regarder les nouvelles offres des commerçants ou encore chercher un travaille. Mais certains aussi sont tout simplement chez eux, car ce quartier regorge aussi de nombreuses habitations. C'était donc très difficile de retrouver quelqu'un dans tout ce chahut, mais Loka tenait quand même a chercher. Il demanda même aux marchands s'il n'avait pas vu une fille de la description d'Audrey, mais tous répondaient non. Mais au bout d'une heure à chercher, il demanda à un nouveau marchand, et celui-ci répondit qu'il avait peut-être vu quelqu'un comme sa :

-« Oui, une fille comme vous la présenter est passé ici, il y a peu de temps de cela. Elle m'a demandé si je n'avais pas vu son père. Et je lui ai répondu non. »

-« Vous a t-elle dit ou elle allait ? Ou est ce que vous l'avez vu partir dans une direction ? »

-« Non elle ne m'a rien dit et je ne l'ai pas vu partir. Je m'en souciais peu, j'ai des affaires moi. Mais elle a discuté un moment avec quelqu'un. »

-« Savez-vous où je puis trouver cette personne ? »

-« Non, mais il traîne souvent dans les parages, il doit vivre ici, au quartier marchand, peut-être a-t-il un stand même. Il est plutôt grand, assez jeune, une longue barbe et une petite moustache, qui ne lui vont pas d'ailleurs, et il porte toujours un chapeau bleu. »

-« Merci beaucoup monsieur, bonne fin de journée. »

Et le marchand n'eu pas le temps de répondre que Loka était déjà parti. Il cherchait désormais la personne décrite. Loka rencontra beaucoup de personnes à barbe, mais aucune avec un chapeau bleu. Peut-être est-ce un magicien pensait Loka. Il était de plus en plus tard, et le soleil commençait à se coucher, mais Loka avait une piste, et il ne voulait pas abandonner maintenant. Et ses efforts fur récompenser lorsque surgit un homme avec une longue barbe, une petite moustache, et un chapeau bleu. Loka lui courut après pour le rattraper : l'homme avait tourné dans une ruelle, sûrement pour rentrer chez lui.

-« Monsieur, s'il vous plaît », essayant d'arrêter l'homme. Et sa marcha, l'homme se retourna.

-« Qui a-t-il jeune homme ? Pourquoi crier vous ainsi ? »

-« Monsieur, vous avez rencontré une fille, plus tôt dans la journée. C'est une amie à moi, et j'aimerais la revoir. S'il vous plaît, dite moi ou est-elle aller ? »

-« Et bien oui j'ai vu une fille de ton âge je pense. Elle cherchait son père. J'ai voulu l'aider, mais elle n'avait aucune piste, aucun indices ou il pourrait se trouver, elle m'a donc dit qu'elle se débrouillerait seul. Je l'ai un peu réconforté, elle avait l'air si malheureuse. Je lui ai conseiller d'aller au château, et de voir un représentant qui pourrait l'aider pour son père. Peut-être feront-ils des recherches déjà plus efficaces et trouverons des informations ou quelques choses. J'espère pour elle en tout cas. »

-« Merci beaucoup Monsieur, si un jour je vous revois, je vous revaudrais ce geste. Au revoir »

-« Au revoir jeune homme, il n'y a pas de quoi. »

Loka savait enfin ou elle se trouvait, du moins il n'y a encore pas longtemps elle y était. Elle se mit donc à courir au château, mais une question le frappa soudainement : Comment allait-il entrer au château ? On n'y entre pas si facilement et il ne suffit pas de dire que l'on doit voir quelqu'un qui se trouve au château pour y entrer, non il faut plus que sa, il faut une autorisation exceptionnelle pour y entrer.

Loka avait au moins jusqu'à la nuit pour que les portes menant en ville restent ouverte, mais il restait le cour d'eau qui sépare la ville du château. Et pour le traverser, il n'y avait qu'un petit pont qui n'était pas souvent ouvert ou sinon une barque qui faisait l'allée et retour du château à la ville. On pourrait aussi traverser à la nage le cour d'eau sur les cotes, mais par n'importe quel endroit ou passer, il n'y avait qu'une seul entrer, et des gardes la surveillaient avec une extrême vigilance. Alors si quelqu'un passe par les cotés, celui-ci est automatiquement mis à mort. Alors, comment Loka pourrait-il bien rentrer au château pour retrouver Audrey ?

Loka arriva aux portes de la ville menant au château. Il y avait à peu prêt cinq voir six gardes. Jamais il ne pourrait passer sa ! Puis d'un coup, il eut une idée. Une diversion ! Il comptait faire une diversion. Tout prêt des portes se trouvait un recoin, il s'y rendit avec plusieurs pierres. Puis, il lança assez loin dans le cour d'eau plusieurs pierres. Les gardes, pensant à une intrusion se rendirent tous à l'endroit ou les pierres étaient tombées. Le passage libre, Loka sauta dans l'eau, nagea tel un poisson, et se rendit très vite à l'intérieur du château.

Il risquait gros, peut-être une mis à mort si on savait et si on le retrouvait. Il ne savait même pas s'il y avait aussi des gardes après les portes principales. Mais il y alla quand même, pour Audrey.

Il arriva donc dans le hall du château, un hall connu des villageois de Strifeheart comme une pièce des plus honorifiques. Pleins de tableaux de toute sorte étaient accrochés aux murs du hall, des vases venant de Mistego, cette ville même. Loka n'en revint pas, tous ce que disaient les livres étaient donc vrai, c'était vraiment une pièce des plus magnifique que l'on peut voir. Mais quelque chose lui rappela qu'il n'était pas venu pour sa : les gardes revenaient à leurs positions, et apparemment ils étaient furieux d'avoir été berner ainsi. L'un d'eux rentra au château, sûrement pour prévenir de ce qui venait de se passer. Mais Loka trouvait qu'il avait assez été « hors-la-loi » pour aujourd'hui, il se contenta donc de se cacher derrière un pilier. Le garde passa et monta en haut. Loka revint alors au centre du hall, et se décida enfin à continuer. Il ne savait pas vraiment ou aller, mais il décida pour commencer de ne pas monter en haut. Il se dirigea vers la droite, mais fit très vite demi-tour : c'était la bibliothèque. Elle était énorme pour Loka, beaucoup plus grande que celle de la ville. Apparemment il y avait aussi pas mal d'agitation, bien que normalement une bibliothèque est un lieu silencieux. Il fit donc demi-tour pour prendre sur la gauche, il passa une salle, rien à signaler puis il ouvra une porte d'ou dégageait une odeur très particulière : c'était la cuisine, très grande et encore beaucoup d'agitation, il devait sûrement se passer quelque chose dans le château. Il y avait aussi un chef cuisinier, du moins il en avait tout l'air, car il donne des ordres à tout le monde, et semble beaucoup plus agités que tous les autres.

Loka plaignait les autres cuisinier si c'était tous les jours pareil. En tout cas lui il devait continuer son chemin, et il ne lui restait plus qu'un chemin : en haut. Il revint donc au hall, et monta les marches. En passant, il remarqua que le garde avait repris sa place. En haut des escalier, Loka avait beaucoup plus de choix qu'avant. D'abord, il y avait deux autres escalier juste devant lui, l'un montait apparemment jusqu'en haut du château et l'autre redescendait mais semblait s'arrêter au même niveau que le hall mais ailleurs, et deux nouveau chemins, l'un à droite et un autres à gauche. Il y avait beaucoup d'agitation encore une fois au chemin de gauche, sa devait sûrement être le quartier des gardes et soldats. Il y avait un écusson de cuir représentant une épée, un cheval et un bouclier juste à l'entrée du chemin. Il pris donc le chemin de droite, car il ne voulait pas encore monter ou descendre. Un long couloir se dressa devant lui sur le chemin de droite. Il avança un peu, et commença déjà à voir des portes sur les cotes. Il compris qu'il était dans le quartier des habitations, là ou dormait le personnel du château, et vu le nombres de chambres qu'il y avait, Loka se disait qu'il devait y avoir beaucoup de personnel. Il continua jusqu'au bout du couloir, mais encore une fois, un cul de sac. Il refit demi-tour, et décida de monter encore. Mais l'escalier s'arrêtait en milieu de monter, et Loka pris le chemins qui s'offrait à lui. Mais très vite il revint dans les escalier car deux gardes s'approchaient de lui. Ils passèrent sans le remarquer, bien heureusement pour lui d'ailleurs. Ensuite, il continua sa route, et remarqua qu'il jouait vraiment beaucoup avec le feu, car il se trouvait justement là ou il ne voulais pas aller. C'est à dire, le quartier royale. Oui, il le remarqua quand il faillit entrer dans la salle du trône, mais bien heureusement, il entendit du bruit venir de la pièce, donc il se cachât, et deux nouveaux gardes sortirent.

Et dans l'entrebâillement de la porte, Loka vit la reine discuter avec l'un de ses conseillers. La reine est vieille, et lorsque l'on ne la connaît pas, on à un peu de mal à la regarder car son visage est assez désagréable et méchant. Mais Loka ne perdit pas de temps ici, car désormais, il ne pouvais enlever une pensée de sa tête : Audrey. Il continua à monter les escalier qu'il avait entrepris de monter, mais ne s'arrêta pas cette fois-ci, il continua tout en haut et arriva en haut d'une tour. En haut de la tour, Loka avait une très belle vue de la ville, tout en hauteur, il trouvait sa magnifique. Puis en se tournant sur lui-même pour regarder autour se qui se passait, il remarqua une cour a l'intérieur du château. Et en y regardant avec plus de précision, il remarqua quelqu'un, habiller d'une robe rose, donc sûrement une fille, avec le visage écrouler dans ses mains. Il la reconnu tout de suite, c'étais Audrey, il l'avait enfin retrouver, elle était là juste en bas. Mais elle pleurait. Alors Loka ne perdit pas une minute de plus, peut-être allait-il se faire repérer, mais il fonça quand même tout en bas, et pris l'escalier pour descendre juste au-dessus du hall. Et il se retrouva dans la cour. Audrey était là, juste devant lui désormais. Il s'approcha :

-« Audrey. Audrey je te cherche depuis deux jours. Je suis vraiment désolé pour se qui est arrivé à tes parents. Si je peut t'aider en quoi que se soit dis le moi. J'essaierai avec tous les moyens en ma possession de retrouver ton père si tu le souhaite... »

-« Loka stop. »

Dans sa précipitations, Loka n'avait pas penser à Audrey. Audrey pleurait toujours et semblait peu intéresser par Loka.

-« Je suis désolé Audrey. Tu as retrouvé ton père ? »

-« Mon père est parti. Il est venu au château, pour leurs dire qu'après tous se qu'il avait fait pour eux, ils n'avaient jamais rien fait pour lui. Puis il a dit qu'il partait ailleurs finir sa vie, loin d'ici et de cette ville de malheur. »

-« Je suis désolé Audrey. Tu sais dans ou est-il aller ? Peut-être avait-il déjà préparer de s'en aller, et donc il avait peut-être fait des allusions d'un certain endroit. »

-« Non rien. Il ne parlait pratiquement jamais. »

Sur ce, Audrey continua à pleurer de plus belle, et Loka se décida enfin à prendre Audrey dans ses bras.

-« Ecoute, tu n'as qu'a venir t'installer chez moi, sa ne remplacera pas tes parents, mais se sera toujours mieux que d'être seul. Et on fera des recherches sur ton père et on le retrouvera. »

-« Merci Loka. Mais je crois que je vais quand même rester seul chez moi et continuer ma vie. Maintenant que mes parents ne sont plus la, sa devrais aller mieux financièrement. Mais ils ne sont plus la... »

-« Je t'aiderais Audrey, je suis la, tu n'as pas à t'en faire. Je vais prendre soin de toi. »

Audrey et Loka restèrent un long moment dans la cour, Audrey dans les bras de Loka, et racontant des anecdotes, des histoires qu'elle avait lues. Puis, un garde vint les voir.

-« Jeunes gens, ils fait déjà nuit, il serait temps que vous rentriez chez vous. Nous allons vous ouvrir les portes. »

Audrey et Loka sortirent du château, continuèrent à discuter jusqu'à l'endroit ou ils doivent se sépare pour rentrer chez eux :

-« Et bien, voilà, une journée qui s'achève. On se voit demain ok ? Ciao et bonne nuit. »

-« A demain, bonne nuit et merci, beaucoup. »

Audrey fit un bisou a Loka pour lui dire au revoir et le remercier, Loka allait partir, mais Audrey ajouta :

-« Loka, je ... »
Les rêves avaient cessé, ce qui rendait Loka plutôt heureux, et Audrey devenait enfin heureuse. Après la triste mort de sa mère et le départ de son père, elle peut désormais avoir un peu plus de loisir. Plus de soins a acheté pour ses parents, plus de besoin pour ses parents, elle avait maintenant assez d'argent pour pouvoir emprunter des livres à la bibliothèque. Ce qu'elle fît sans attendre : Deux voir trois livre par semaine, elle lit tous les soirs, avec toujours autant de passion. Quant à Loka, il se débrouille très bien avec sa mère. Elle est très heureuse pour lui et Audrey. Et lui, ne la remerciera jamais assez de l'avoir recueilli. Tout se passait bien dans Strifeheart, les gens avaient l'air heureux, il n'y avait aucun conflit pour la famille royale, les affaires marchaient bien à l'intérieur de la ville. Mais, dans tout ce bonheur se cachait un mal, un mal que personne ne doute, que personne ne voit, que personne ne ressent. Même pas le grand prêtre ou les plus grands magiciens de Strifeheart. Mais quelqu'un, après mainte réflexion et sagesse, avait senti se mal. Ifdag, qui était revenu en ville depuis une semaine, surveillait Loka comme on lui a ordonné, mais aussi menait son enquête, comme on lui a ordonné. Il préférait d'ailleurs mener son enquête que surveiller Loka. Après avoir lancer des tas de sort de détection contre le mal, Ifdag avait repéré un mal. Quel était-ce mal ? Il l'ignorait. Mais il y en avait bien un.

Malheureusement, il lui avait déjà fallu énormément de sort de détection contre le mal, alors découvrir qui ou quel est se mal, cela était au-dessus de ses forces. Mais alors comment allait-il pouvoir faire pour trouver ce mal. Il lui fallait aller voir la personne la plus concerné : Loka.
Le magicien, bien qu'il n'aime pas se balader dans la ville, a du traverser toute la ville pour rejoindre la maison de Loka. Mais Loka n'était pas la, c'est donc sa mère qui ouvrit :

-« Bonjour Madame. Puis-je parler avec votre fils, Loka, s'il vous plaît ? »

-« Bonjour Ma Seigneurie. Et bien, Loka n'est pas la pour le moment, voulez-vous que je lui laisse un message ? »

-« Non sa ira je vous en remercie. Dite moi plutôt si vous savez ou je peux le trouver ? »

-« Non je suis désolé, je n'en sais rien. Il se balade toujours dans la ville pour voir sa copine ou pour aider les gens. Vous savez, il a un coeur pur. Mais, j'éspére que ce n'est pas trop grave. Parce que un magicien tel que vous ne doit pas se déplacer pour de petites affaires. »

-« Rassurez-vous, c'est juste au sujet de ses rêves, vous savez ? Je voulais juste lui poser quelques questions. »

-« Oh ! Eh ! bien vous serez heureux d'apprendre que depuis qu'il a rencontrer sa copine, il n'en rêve plus. Et il est content. D'ailleurs, il avait dit qu'il passerait vous voir pour vous en informer mais vous étiez absent un long moment, il a du oublier. »

-« Il n'en rêve plus ? Bien, pourriez-vous lui dire qu'il passe me voir dés qu'il peut dans ma tour s'il vous plaît ? Merci de votre hospitalité Madame. Sur ce, je vous laisse. Bonne fin de journée. »

-« D'accord je lui dirais. Merci a vous aussi Ma Seigneurie. »

Ifdag retourna donc dans sa tour, et attendit l'arrivé de Loka.

Aujourd'hui, Audrey ne travaillait pas, donc Loka avait décidé de l'emmener dans le quartier jovial. C'est un quartier très divertissant. On y trouve de tout : des habitations, des magasins, mais surtout des jeux. On ne fait que s'amuser dans ce quartier. Des pièces de théâtres très comiques, des jeux de visualisation, il y a même des endroits ou l'on peut tester notre magie. De quoi passer une très agréable journée ! Audrey et Loka rigolaient car ils s'amusaient bien ensemble, souriaient car ils étaient plus heureux qu'avant. Enfin, surtout Loka, car Audrey avait encore dans son coeur ses parents qui étaient disparus depuis peu de temps. Mais cela ne l'empêchât pas de continuer à vivre, de s'amuser, et c'est sûrement ce que c'est parents auraient voulu. Loka n'utilisait pas magie, c'était plutôt un guerrier courageux, par contre, Audrey elle, elle l'utilisait. Mais pas n'importe quelle magie, elle utilisait de la magie blanche, de la magie protectrice et soignant. Bien sur, elle n'avait jamais vraiment étudié sa, mais elle avait appris en lisant des livres, et surtout des livres d'apprentissage, puis elle pratiquait chez elle. Elle connaissait que très peu de sort, mais pour ce qu'elle avait étudié, c'était déjà énorme. Loka la persuada de faire le jeu de visualisation. Ce jeu consistait en faite à trouver un objet dans une pièce toute blanche, mais l'objet était soit blanc lui aussi, soit invisible. La pièce est très grande et on n'a que quinze secondes pour le retrouver.

Il faut donc utiliser des sorts de détection, mais à vrai dire, c'est assez difficile à trouver l'objet. Peu y arrive, et ceux qui y arrivent gagnent une ou plusieurs places pour du théâtre, et il arrive même que l'on gagne des places spéciales pour visiter le château !
Audrey ceda donc à Loka, et joua pour lui. Elle n'avait donc que quinze secondes pour retrouver l'objet, qui était placer aléatoirement par une machine, et donc utiliser des sorts de détection. Sa y est, elle entra, et avec une habilité et une sagesse très particulière, elle réussie en cinq secondes à lancer deux sort de détections d'objet, et le deuxième lui donna la position de l'objet. Elle courut pour le chercher. En douze secondes, Audrey avait retrouvé l'objet. La ou beaucoup d'apprentis mages ont échoué, Audrey avait réussi. Elle sortit de la pièce avec l'objet en main, et cette objet c'était deux places pour une pièce de théâtre le soir même. Elle est contente, et souriait, mais les autres personnes qui avaient vu ces prouesses, était très étonner, et très admiratif devant elle. Loka aussi la regardait avec beaucoup de respect, comme si c'était une personne très connu. Et d'un coup, quelqu'un se mit à applaudir, pour féliciter Audrey. Puis les autres firent la même chose. Audrey n'en revint pas, elle venait enfin de se rendre qu'elle était la plus jeune personne à avoir réussi ce jeu, que même certains apprenti, après deux ans d'entraînement, n'y sont pas arrivé en si peu de temps. Audrey était très émue, elle invita Loka au théâtre, et il accepta. La journée se finissait, le soleil se couchait, et il était temps de rentrer chez soi. Audrey et Loka se dirent au revoir, puis ils rentrèrent chez eux. Ils avaient passé une si bonne journée que Loka souriait à tout le monde, encore plus que d'habitude. Il rentra chez lui, sa mère n'était pas la. Mais elle avait laissé un message :

-« Coucou Loka, je suis parti faire quelques courses pour des amis, je rentreraient bientôt. J'ai fait des cookies si tu as faim, il doive être dans le four. Bon voilà je te laisse, gros bisou mon chéri.

PS=Un magicien est passé, sûrement celui que tu était allé voir, le magicien de la tour. Il fût heureux d'apprendre que tu n'est plus ces mauvais rêves, mais il veut quand même te voir, il a quelque chose à te dire normalement. Fait gaffe quand même, je n'aime pas trop quand tu va là-bas, on ne sait pas se que cache ce magicien. »

Voilà Loka bien embarrasser, il devait aller au théâtre ce soir avec Audrey, sa mère est parti en course, et le magicien veut le voir. Mais il n'avait pas vraiment faim, il avait mangé beaucoup de confiserie dans l'après-midi avec Audrey. Alors il décida d'aller voir le magicien, après tout, il avait encore du temps devant lui et il suffisait juste de prévenir sa mère. Il laissa donc un mot à sa mère lui disant qu'il était parti chez le mage, et si elle pouvait préparer son plus beau costume pour sortir ce soir avec Audrey, en la remerciant, puis il s'en alla en direction de la tour.
Ifdag écrivait des notes sur des recherches qu'il avait effectuées il y a peu de temps de cela. Il était plongé dans ses notes, et dans l'écriture d'autres notes. Mais quelque chose le fit sursauter : son assistant frappa à la porte de son bureau, et dit :

-« Monsieur, excusez-moi de vous dérangez mais il y a quelqu'un qui dit que vous l'attendez, mais je n'ai personne sur la liste. Donc personne n'est censé vous voir aujourd'hui. Il dit qu'il s'appelle Loka. »

-« Hein !? Eu oui bien sur faite le rentrez ne rester pas la à rien faire. »

-« Bien Monsieur. »

L'assistant referma la porte. Ifdag mit ses notes de cotés, et se leva, comme pour se préparer à quelque chose d'important. Loka entra dans le bureau :

-« Bonjour Monseigneur. Y a-t-il un problème ? »

-« Et bien, pour commencer, on m'a dit que tu ne rêvait plus de cette bataille, c'est vrai ? »

-« Oui, c'est vrai. Ce « on » est en faite ma mère, n'est ce pas ? »

-« Je n'ai pas comme habitude de donner le nom des personnes qui me parle, tu dois savoir se que tu dois savoir, rien de plus. Comment ce fait-il que tu n'en rêve plus ? »

-« Et bien, depuis que j'ai rencontré une personne, je n'en rêve plus. On ne c'était pas vu pendant un moment, et sa a recommencé. J'ai rêvé une nouvelle fois de la bataille. Mais après j'ai cherché cette personne et on ne c'est plus quitté. Enfin on se voit dans la journée, mais sinon elle vit chez elle et moi chez moi. »

-« D'accord. Sa peut s'expliquer alors. »

-« Qu'est se qui peut s'expliquer, Monsieur ? »

-« Bon, je crois que tu es la première personne concerné, donc je vais te dire se qu'il se passe. Mais pas un mot, à qui que se soit. Même à ta charmante demoiselle. On pense que tu subi une mystification par rêve. C'est à dire que quelqu'un te fait rêver de sa. Pourquoi ? On n'en sait rien. Qui ? Sa non plus. Mais on sait que cette personne est dans la ville, car la mystification par rêve ne peut être utiliser que dans un cour rayon, donc si quelqu'un utilise bien la mystification par rêve pour te faire rêver, alors il est ici même. Je doit donc te surveiller au cas ou sa serait important, et mener une enquête aussi. Mon enquête vient de me fournir quelque chose de très intéressant. Un mal se cache ici, dans Strifeheart. Peut-être qu'il n'a aucun lien avec toi, mais je préférerais vérifier, pour ta sécurité. J'aimerais donc faire quelque chose avec toi, pour vérifier et te protéger s'il le faut. C'est sans aucun danger ne t'en fait pas. Et je maîtrise beaucoup plus la magie que tu ne le pense. »

-« Et bien, eu, c'est à dire que je ne peux pas tout de suite. J'ai déjà des choses de prévu pour ce soir. Disons demain, c'est bon ? »

-« Non, il faut le faire tout de suite. Sa ne durera pas longtemps je vais juste te faire oublier pendant un moment des choses qui te rendent heureux et qui pourrait être un bouclier pour le mysticisme. Ensuite, tu devrais rêver de la bataille et pendant ce temps, j'essaierai de voir qui te fait subir tout sa. Aller assis-toi sur le fauteuil, plus vite se sera fait, plus vite tu seras libérer. »

-« Mais, je ... »

-« Pas de mais, allons-y. »

Ifdag attrapa le bras de Loka et le mit d'un coup sec sur le fauteuil. Le magicien utilisa un sort d'absorption d'âme temporaire sur Loka lui faisant oublier Audrey, sa mère, son bonheur. Ensuite, il envoya un sort de sommeil, pour qu'il dorme, et à ce moment, il utilisa un sort de partage de rêve. Ifdag partageait désormais le rêve de Loka mais Loka avait oublié de dire un élément essentiel lorsqu'il a décrit son rêve : Il était présent dans la bataille, mais en fantôme. Mais cette fois-ci, Ifdag était là aussi. Ils regardaient tous les deux la bataille, observant ce qui se passait. Ifdag connaissait déjà l'histoire, et Loka commençait aussi à la connaître. Mais Ifdag ne comptait pas rester là à regarder la bataille, non, il faisait sa pour trouver un ennemi. Donc, il lança à nouveau un sort de détection contre les forces du mal. Le sort réussi, mais le magicien fût propulser en l'air, et retomba au sol de son bureau, Loka toujours dormant sur le fauteuil. Mais Ifdag avait eut le temps de ressentir quelque chose.

La nuit était tombée, c'était bientôt l'heure du début de la pièce de théâtre, et Audrey attendait toujours Loka, au lieu de rendez-vous. « Pourquoi est ce que Loka n'est pas la ? » Se demandait-elle. Mais aucune réponse ne pouvait lui être apporter pour le moment. Elle attendit encore un moment, et soudain, quelqu'un s'approcha d'elle :

-« Bonsoir jeune demoiselle. Que faite-vous ici ? C'est dangereux la nuit, les brigands rôdent dans les coins. »

-« Bonsoir. J'attends quelqu'un, on devait aller voir la pièce de théâtre, mais cela faite déjà un moment que je l'attends, donc je me demande s'il va venir. »

-« Ah! Je pense qu'il viendra, il n'abandonnerait pas une si belle fille que vous. Il à dû être retarder, mais vous ne devriez pas rester ici trop longtemps. Bien je vais vous laisser, je dois rentrer chez moi. Au revoir et bonne soirée. »

-« Merci, à vous aussi. Au revoir. »

Un peu après cette discussion, Audrey entendit le son du début de la pièce, elle décida donc de ne plus attendre Loka, et d'aller voir la pièce seule...

Ifdag était complètement étourdi. Pas à cause de sa chute, mais parce que quelqu'un, à travers la capture d'âme, le partage de rêve, et la détection du mal, avait réussi à lancer un contre sort qui avait projeté le magicien. Mais Ifdag avait réussi à le sentir. Il ne savait pas qui il était, mais il savait qu'il était ici tout proche, dans Strifeheart, et qu'il était beaucoup plus puissant que lui, et que tous les magiciens les plus puissants de Strifeheart. Il avait aussi remarqué une chose, une chose très importante et peut-être aussi très grave : Cette mystérieuse personne en voulait à Loka ! Oui, soit elle attendait quelque chose de la part de Loka, soit elle lui en voulait. Ifdag avait ressenti une haine, une rage très puissante en cette personne. Loka était donc peut-être en danger. Et le magicien savait ce qu'il restait à lui faire : Il devait éloigner Loka d'ici, jusqu'à se que ce problème soit réglé au moins.

-« Huh. Quelle heure est-il ? »

Loka venait de se réveiller. Il avait récupéré tout ses souvenir.

-« Tard. Trop tard pour ta soirée, j'en suis désolé. Mais il y a un problème plus important. »

-« Quoi !? Oh non, Audrey ! Il faut vite que je la rejoigne au quartier jovial. »

-« Non. Ecoute, tu es peut-être en grand danger. Tu doit te rendre à Grich, à l'auberge du Porc Lamellé, là-bas un ami du nom de Rhodarof t'attendra, et te dira se qu'il faudra que tu fasse, mais tu ne peux rester ici ! »

-« Quoi ?! Mais, je ne peux pas partir comme sa. Pour commencer je vais aller retrouver Audrey, ensuite je rentrerait chez moi voir ma mère qui doit mourir de peur parce que je ne suis pas rentré, et après je reviendrait vous voir. Vous êtes peut-être puissant et sage, et vous avez peut-être raison, mais vous devez comprendre que je doit avoir vraiment une bonne raison et de bonne explication pour m'en aller comme sa d'ici ! »

-« D'accord alors je vais t'expliquer : Ce rêve que tu as est provoqué par une personne qui te veux du mal ! Je ne sais pas qui c'est, mais elle est ici, dans Strifeheart ! Et apparemment, elle a détecté que j'ai voulu l'a trouvé car elle utilisait un contre sort à travers mes sorts pour me projeter au sol et me sonner ! Cette personne est BEAUCOUP plus forte que moi, et je suis le seul à te protéger ici. Le château ne fera rien, et tes amis essaierons mais n'y arriverons pas ! Alors maintenant tu vas bien m'écouté. Tu vas allé voir ta copine, puis ta mère, et c'est tout. Chez toi tu fera tes bagages, puis tu reviendras ici. Je t'accompagnerais jusqu'à la sorti de la ville, et tu prendra route vers Grich pour l'auberge. Là-bas, tu y retrouvera Rhodarof, tu le trouvera facilement et il te dira quoi faire. Maintenant va et dépêche toi. »

Ifdag avait dit sa tellement rapidement et avec une telle puissance que Loka ne savait plus quoi répondre, il ne savait plus ou avoir la tête : Il commençait à croire que c'était beaucoup plus grave qu'il ne le pensait. Il ne répondit pas, mais acquiesça de la tête puis s'en alla vers le quartier jovial. Il en avait complètement oublié l'heure, et quand il arriva, la pièce finissait. Il regarda toutes les personnes sortir, puis vit Audrey partir rapidement du coté opposé à la sienne. Il courut pour la rattraper.

-« Audrey. Audrey attend ! »

Audrey se retourna, vit Loka, se jeta d'abord sur lui avant de lui donner une gifle :

-« Pourquoi tu n'es pas venu ! Je me suis imagines des tas de truc dans ma tête. Que tu m'avais laisser tomber, que tu avais disparu, qu'on t'avait enlevé. »

-« Audrey. »

-« Oui ? Loka qu'est se qu'il y a ? Tu n'as pas l'air bien. »

-« Audrey, je dois partir. »

-« Quoi !? Mais tu peux pas partir comme sa ! Qu'est se que sa veut dire ! Tu avais dit que tu resterais avec moi ! »

-« Audrey. Cette histoire de rêve. Sa se passe plutôt mal. J'ai été naïf et je me suis mal comporté. J'aurais du prendre cette historie plus au sérieux. »

-« Que...Que veux-tu dire ? »

-« Apparemment, je suis peut-être en grand danger. Une personne me veut du mal. Je ne sais pas pourquoi, ni qui est-ce. Mais je doit partir pour ma sécurité. Je me rend à Grich, je doit retrouver quelqu'un là-bas. Je n'ai pas beaucoup de temps devant moi. Mais je voulais te dire que je t'aimais, depuis la première fois ou je t'ai vu, et je ne sais pas comment tout cela va finir, mais je ne cesserais jamais de penser à toi. Je doit retourner chez moi et prendre des affaires pour le voyage. J'espère qu'on se reverra un jour Audrey, en attendant prend bien soin de toi. »

-« Attend, tu ne peux pas partir comme sa, il y a toujours un moyen de s 'arranger. Allons au château il nous aiderons. Mais tu ne peux pas quitter la ville comme sa ! »

-« Je suis obligé Audrey. »

-« Alors c'est fini. Je vais me retrouver seul, abandonné. Qu'est se que je vais faire moi ? »

Audrey se mit à pleurer, Loka ne savait plus quoi dire.

-« Je n'est pas beaucoup de temps, et je dois aller voir ma mère. Je serais à la porte principale pour quitter la ville dans une heure. Vien me voir, si tu en as le coeur. »

Loka s'en alla, avec beaucoup de regret, et le coeur déchiré, mais il savait que c'était la meilleure solution.

Il rentra chez lui, tête baisser, et annonça la nouvelle à sa mère.

-« Je sais mon chéri. Le magicien est passé pour me le dire. Il m'a dit qu'il savait que tu n'arriverais pas à me convaincre de te laisser partir. Alors il est venu de lui-même. »

Sa mère était en pleure. Elle savait que c'était le début d'un long voyage pour son fils, alors que même lui ne s'avait même pas ce qui l'attendait. Il ne savait même pas ou se trouvait Grich. Il se mît lui aussi à pleurer.

-« Ne pleure pas mon fils. Tu dois suivre ton chemin. Je suis sûr que tu es destiné à quelque chose de bien. Quoi qu'il arrive, continue ton chemin, ne renonce jamais. Le courage te mènera à la victoire. Et n'oublie jamais que la mort n'est rien d'autre qu'un chemin vers les terres digne de nous même, alors soit bon. Tes bagages sont prêts, tu n'as plus qu'à rejoindre le magicien aux portes principales. Allez, dépêche-toi. »

-« Merci, maman. Je ne t'oublierais jamais, et quand tout sa sera fini, je reviendrais vers toi. »

Loka pris ses bagages, se retourna une dernière fois vers sa mère, la regarda, puis s'en alla pour les portes principales. Mais là-bas, il ne retrouva pas qu'Ifdag. Il y avait aussi Audrey, et quelque chose d'autre le perturba.

-« Vous venez avec moi Ifdag ? Sinon a qui sont ces bagages ? »

-« Elles sont à moi. » Répondu Audrey.

-« Tu pars ? »

-« Oui, je viens avec toi ! J'ai longuement réfléchi, et tu sais, j'ai toujours voulu devenir aventurière, comme mon père. Et qui sait, peut-être le retrouverons nous quelque part. Et je t'aime trop pour te laisser partir comme sa. Ici, je n'ai rien, je n'ai plus de famille, j'ai plus personne à part toi.
Alors si tu pars, je pars aussi ! »

-« Audrey... »

-« Allons les enfants, il est temps. Vous devez faire route vers Grich. Tien Loka, prend cette épée, et prends en soin : elle est fragile et m'a servi plusieurs fois, mais je ne m'en sert plus, j'en ai une nouvelle. »

-« Je ne sais pas ou se trouve Grich. »

-« Moi je sais ! »

-« Très bien. Audrey te montrera le chemin comme sa. Allez maintenant, vous devez y aller. Il ne devrait pas vous repérez car il est toujours en ville et il attend que ton âme soi libre et que tu dorme pour pénétrer à l'intérieur. Mais si vous restez ensemble et loin d'ici, il ne pourra rien faire. Allez, au revoir et à bientôt. »

-« Au revoir Ifdag, et merci, beaucoup. »

-« Au revoir Monseigneur. »

Et voilà Loka et Audrey sur la route de leur voyage, en direction de Grich, et d'une nouvelle vie. Ils se regardèrent, comme pour se dire « je t'aime. »

-« Nous devrons passer par la forêt de Rige, et derrière la forêt se trouve Grich. »
Audrey et Loka marchèrent pendant deux jours en direction de la forêt de Rige. La route se passa tranquillement, Audrey prenant les commandes pour se diriger. Ils croisèrent quelques bêtes volantes sur la route jusqu'à la forêt, mais sans aucun danger, et il n'y eut aucun combat. Beaucoup de Rèptèles, de bon compagnon reptilien pour ceux qui peuvent les dompter. En tout cas, Audrey et Loka sont arrivés à la forêt de Rige en fin du deuxièmes jours de marche, sans aucun problème. Il décidèrent de faire leur camp juste devant la forêt, et d'entre la forêt le lendemain matin. Ils leurs restaient encore beaucoup de provisions, au moins pendant cinq jours, de quoi largement tenir jusqu'à Grich. Et en plus de sa, Audrey comptait trouver de la nourriture dans la forêt, et peut-être travailler sa magie et son alchimie en passant. Pendant les deux nuits qui avaient passé, Audrey et Loka était chacun dans leur couchage, et dormaient chacun de leur coté. Mais cette nuit là, Audrey sentait une fraîcheur venir de la forêt, et elle s'installat prés de Loka, pour trouver du réconfort. Loka, lui, ne ressentait rien, mais ne rejeta pas Audrey, bien au contraire d'ailleurs, il était plutôt content. Audrey et Loka s'endormirent à la belle étoile, comme les deux nuits précédentes. Et ils dormirent bien, du moins Loka dormi bien. Car Audrey, elle, avait eu une nuit plutôt agitée. Bien qu'elle dormait, elle ressentit toute la nuit quelque chose, la même fraîcheur qu'elle avait sentie avant de s'endormir, mais une fraîcheur particulière, sans savoir ce que c'est. Après cette nuit agitée pour Audrey, elle était désormais au moins libéré d'une chose : elle n'était plus obligée de faire la guide car la route était indiquer sur des panneaux suivant un chemin. Audrey n'était vraiment pas faite pour être guide, elle détestait sa !

-« Pff ! J'en ai marre de marcher devant. On dirait que je suis seul à voyager à chaque fois ! Et puis si on nous attaque, c'est moi qui serais attaquer la première ! »

-« Ne t'inquiète pas, tu n'es pas seul. Et si on nous attaque, je te protègerais » Lui répondait tout le temps Loka.

Ils prirent du paindasse, du pain beaucoup plus nourrissant, puis prirent la route de la forêt. Audrey disait qu'il ne restait que deux jours pour arriver à Grich. Il dormirait donc une nuit dans la forêt, mais cela ne les embêtait pas du tout. La journée se passa tranquillement, il n'y eut rien de grave, rien de dangereux, rien qui les empêcha de continuer. Ils arrivèrent a une intersection : un chemin menait plus profondément dans la forêt et l'autre menait à Grich. Il décidèrent de monter leur couchage ici. Venait l'heure du repas, et Audrey dit à Loka :

-« J'aimerais bien manger du pigre, à se qu'il paraît c'est délicieux. »

-« A oui ? Et tu voudrais faire comment pour en manger ? »

-« Bah ! tu n'as qu'à en attraper un, et après je m'occupe de lui. C'est simple non ? »

-« Quoi ? Mais je n'ai jamais vu de ma vie un pigre ! Comment est se que je vais faire pour savoir se que c'est, je ne suis pas devin. »

-« Bah ! déjà on ne trouve que de sa ici. Mais c'est vrai qu'on croise aussi parfois d'autres bêtes. Donc le pigre est une grosse bête, sans poils ni rien, que de la peau. Il est vert, c'est pour sa que des fois on le confond avec les arbres ou les plantes. »

-« Bon, bah ! je sais se qu'il me reste à faire. Je suppose que je ne reviens pas si je ne l'ai pas ? »

-« OUI, c'est sa. Merci beaucoup ! »

Audrey n'était pas méchante du tout, elle aimait juste profiter des choses qui sont sous sa main. Et comme c'est une occasion pour en attraper un, elle n'allait pas se contenter de rester-la. Mais ne sachant pas chasser ni même se servir d'une arme pour se défendre, elle préférait donc que Loka y aille. Et loka, bien entendu, ne discuta pas. Il voulait lui faire plaisir et savait qu'il n'y avait rien de mal à goûter aux bonnes choses. Donc, pendant que Audrey préparait un feu et les couchages, Loka chassait ! Il ne savait pas vraiment comment il allait s'y prendre, mais il allait en ramener un, au moins pour épater Audrey. Il s'écarta du chemin, se dirigeant plus dans la forêt elle-même, pour en trouver un. Après quelques bonnes dizaines de minutes, Loka aperçu du mouvement à un endroit. Il crut d'abords à des gens, mais en s'approchant, il remarqua que c'était ce qu'il cherchait : un pigre se tenait juste devant. Il fut surpris du bruit que cela ne produisait rien qu'en marchant sur la terre. Mais il savait ce qu'il restait à faire. Il avait trouvé en cherchant la bête un moyen de l'avoir : il avait pris pour la route des couteaux de lancer et sa pourrait être un bon moyen de capturer cette bête, si seulement il savait viser. Mais il tentât quand même, se rapprochant un peu plus de la bête, il se préparera à lancer un couteau. Il sût saisir le bon moment : La bête s'immobilisa pour fouiller le sol, et Loka savait que c'était maintenant qu'il devait lancer le couteau. Alors, d'un coup sec, il lança un couteau, mais bien que la bête soit dans la meilleure position possible pour la toucher, Loka la rata ! Mais la bête ne bougeait pas. Loka entendit un bruit derrière lui. Il se retourna et vit Audrey ! Loka n'avait même pas remarquer qu'il chassait depuis déjà un long moment, et Audrey avait décidé de venir aider Loka. Et loka fût bien soulager d'ailleurs.

-« Eh ! Ben dis donc. Tu as du mal à ce que je vois ! Je vais encore devoir t'aider. Qu'est ce que tu aurais fait sans moi quand même ? Bon, je vais lancer un sort de précision sur ton couteau, et tu n'auras plus qu'à bien fixer la bête puis lancer le couteau, c'est simple non ? »

-« OK, ok. Je te revaudrais sa. »

Audrey se prépara à lancer le sort, elle leva ses mains, et Loka tenait le deuxième couteau. Une petite lumière bleu jaillit au bout des doigts d'Audrey, et entoura le couteau.

-« Maintenant, vas-y, lance-le ! »

Loka se tourna vers la bête, se concentra, puis lança le couteau. Il l'avait encore raté, mais grâce au sort de précision d'Audrey, le couteau changea de direction et fonça sur la bête en plein dans son corps. La bête se raidit et tombât au sol. Le sort avait marché, et Loka ne regretta encore moins que Audrey soit venue. Car il devait l'avouer, depuis le début du voyage, elle avait été d'une grande aide et peut-être qu'il n'en serait pas aussi loin aujourd'hui si elle n'avait pas été-la. Désormais, ils avaient un excellent repas à leur disposition. Ils revinrent au camp que Audrey avait fait, et Audrey prépara le repas pendant que Loka s'exerçait au combat. Car pendant ces deux jours, lorsqu'ils faisaient des pauses, Loka en profiter pour s'entraîner à manier son épée. Par contre jamais à lancer des couteaux. Et il devenait de plus en plus fort ... Même s'il n'avait jamais combattu, il voyait bien qu'il commençait à maîtriser les épées. Et il avait toujours rêvé de s'en forger une d'ailleurs. Après un petit moment, Audrey avait en fini, et Loka put découvrir un sublime plat de pigre avec du paindasse. Il en avait déjà l'eau à la bouche. Pendant le repas, ils se régalèrent de cette bête, et Loka ne se retint pas de le montrer à Audrey.

-« C'est vraiment sublime. Tu avais raison quand tu disais que c'était délicieux. Et sans toi je n'y aurais jamais goûté. Merci » Répétait-il. Audrey était contente de lui faire plaisir. Il ne restait que lui qui comptait dans sa vie désormais, et elle ne sait pas ce qu'elle aurait fait si elle n'était pas partie. Elle n'en pouvait plus de travailler avec les riches, qui la considéraient comme une moins que rien. Et tout sa pour gagner très peu d'argent, à peine pour survivre.

Une nuit profonde tombait sur la terre. Audrey et Loka avait rangé leurs affaires et se préparait à dormir. Audrey ressentait toujours cette fraîcheur, mais se dit tout simplement que c'était la nature, les arbres, les plantes, toutes ces choses qui regorgent dans la forêt, donnent une fraîcheur intense au personne qui y passe. Elle dormit encore une fois prés de Loka. Audrey fixa longtemps Loka, et il en fît de même d'ailleurs, puis s'endormit, avec pour dernière image de la journée Loka.

Loka se réveilla, et Audrey n'était plus prés de lui. Il se dit qu'elle avait dû changer de place dans la nuit, donc il se retourna pour la regarder mais personne. Audrey n'était plus la. Il se levât très vite et regardât tout autour de lui : Plusieurs affaires étaient au sol, les provisions avaient disparu, le sac de Loka aussi. Il ne restait qu'une casserole, deux cuillères, le sac d'Audrey, le couchage de Loka, les os du pigre d'hier, et l'épée de Loka, que les personnes qui ont fait sa avaient dû oublier. Que c'était-il passé ici ? Loka commençait à avoir peur. Audrey avait-elle vraiment disparue ? Est se qu'on l'avait enlever ? Tant de question et de chose se demandait Loka, et il en avait peur. Audrey avait belle et bien disparu. Loka avait lu quelque chose dans le journal local de Strifeheart sur un nouveau groupe de brigands qui prenait les filles mais pas les garçons. Se pourrait-il que se soit se groupe-ci ? Loka s'effondrât par terre. Le fait qu'il ne reste plus rien comme nourriture pour continuer ne lui faisait rien du tout, mais la disparition d'Audrey allait peut-être lui faire arrêter son voyage. Il se mît à pleurer, et regretta d'avoir entraîner Audrey dans cette histoire. Après un moment par terre à pleure, Loka releva la tête. « Cela ne sert à rien de pleurer. Sa ne changera pas se qui est arrivé. Je n'ai aucune piste de se qui est arrivé, de se qui à pu se passer, et de ou il sont allé après sa. Je vais finir ma mission, puis je reviendrais te chercher Audrey, je te le promet. » Pensait-il. Alors, il se releva, prit le sac d'Audrey, mit se qui restait dedans, accrocha son épée à sa ceinture, accrocha le couchage sur le sac, et il était enfin prêt a reprendre la route. Mais cette fois, plus d'arrêt, car il n'y avait plus de nourriture et il devait se dépêcher. Il emprunta le chemin vers Grich. Il marcha et marcha. Quand arriva l'heure du repas du midi, Loka pensait tellement à Audrey qu'in ne sentait même pas la faim monter en lui. Son ventre gargouillait, mais ce n'était pas important pour lui, le plus important, c'était d'aller à Grich, de trouve ce Rhodarof, puis de revenir chercher Audrey. C'est le courage et la volonté qui l'avait mener jusqu'ici, et ces deux choses continueront à l'emmener ou il faudra. L'heure du repas passé, il continuait toujours à marcher dans la même direction. Soudain il entendit un bruit.

Il continua à marcher doucement, en observant autour de lui. Mais sûrement que se qu'il y avait autour de lui le voyait et été déjà prêt à faire quelque chose. D'un coup il y eut un bruit de feuille derrière lui. Il sortit son épée par réflexe et se retourna. Une bête lui sautait dessus, mais Loka avait son épée diriger sur la bête qui arrivait sur Loka. La bête se planta dans l'épée. Quel chance se disait Loka. Mais il entendit un grognement une nouvelle fois derrière lui. Il se retourna pour la deuxième fois, et vit une bête semblable à celle qui venait de tuer. Elle ne fonçait pas sur lui cette fois, mais le fixait avec un regard terrifiant. Les yeux rouges, une peau marron avec beaucoup de poil dessus et une longue queue qui finissait comme une flèche très pointue. Loka se disait que c'était le moment de mettre en oeuvre c'est entraînement a l'épée, il n'allait tout de même pas se laissait faire par cette bête. Loka décida d'attaquer le premier, alors que la bête le fixait toujours avec le même regard. Bien que se soit le premier combat de Loka, qu'il n'avait jamais vu ces bêtes, et que elle avait l'air très féroce, Loka ne semblait nullement déstabilisé. Bien au contraire, il semblait atteint d'une fureur folle, d'une rage incontrôlable : on dirait un fou ! Sûrement après la disparition d'Audrey, Loka devait vouloir la récupérer par n'importe quel moyen, et même si ces bêtes n'avait aucun rapport avec la disparition d'Audrey, Loka était quand même prêt à les tuer. Loka chargea donc la bête, mais elle fût beaucoup plus rapide. D'un coup sec, elle griffât Loka sur le coté, des griffes que Loka n'avait pas vues. Loka avait un peu reculer, et cette fois c'est la bête qui attaqua. Elle allait donner un deuxième coup de griffe à Loka mais celui ci coupa la patte de la bête avec son épée.

La bête reculant et hurlant de terreur, Loka en profita et planta son épée dans la gueule de la bête. La bête s'effondra, avec l'épée de Loka enfoncer dans sa gueule. Quand à Loka il s'asseyait par terre, contemplant sa blessure. Il avait repris ces esprits, il venait de remarquer qu'il avait fait quelque chose de complètement fou, et qu'il aurait pu y laisser la vie. Il réfléchit un moment sur s'il avait bien fait de partit. Il avait toujours voulu devenir un chevalier errant, ou un guerrier au service du bien d'autrui. Mais peut-être, se disait-il, qu'il était trop jeune encore pour sa, et que tout ces évènements le bousculait et le perturbait. Mais en tout cas, maintenant, il était trop tard pour faire demi-tour, alors après avoir nettoyer le sang de sa blessure, il remit le sac d'Audrey sur son dos, remit son épée dans sa ceinture, et se remit en route pour Grich. Il vu un panneau indiquant le village, il n'était plus très loin désormais.

La nuit commençait à tomber, et Loka marchait encore, et il commençait enfin à ressentir la faim. Il trouva une fontaine et pu se désaltérer. Mais pour se qui est de nourriture, il vit bien des champignons, ou même aperçu un groupe de pigre, mais il n'y connaissait rien en champignons, donc impossible de dire s'ils étaient venimeux ou pas. Quand aux pigres, ils étaient trop nombreux, et il n'arrivait même pas en attraper un seul, donc un groupe était inenvisageable. Non, Loka devait continuer sa route s'en s'arrêter, jusqu'à l'auberge du rendez-vous, pour enfin pouvoir manger. Et encore, car il ne possédait aucune pièce d'or. Mais en attendant de réfléchir à tout sa, il devait continuer.

La nuit était cette fois tomber complètement. Loka ne voyait plus rien, juste le chemin qui se tenait devant lui pour continuer sa route. La faim se faisait ressentir de plus en plus, et la fatigue aussi. Loka marchait de moins en moins vite, et se demandait s'il allait y arriver. Soudain, il entendit du bruit plus loin sur le chemin, derrière une petite colline à monter en suivant le chemin. Il s'y avança le plus rapidement possible, et là haut sur la colline, la forêt se finissait, surplombant une énorme plaine de verdure, et au milieu de cette plaine se tenait un village : Grich. Il était enfin arrivé, des lumière et des chants se faisaient voir et entendre d'en haut la colline. Loka continua à suivre le chemin qui l'emmènera à Grich.

Pendant ce temps-là, Ifdag cherchait toujours le mal dans Strifeheart, un mal beaucoup plus puissant que lui, et donc il pensait ne jamais le trouver. Il envoya une missive à Zird pour prévenir de la situation aux maîtres mages, du moins, à Perfetif, car il n'avait pas vraiment envie de travailler avec les autres.

Il se faisait sentir quelque chose de bizarre dans la ville de Strifeheart car le magicien de la tour rôdait dans la ville. Normalement il n'y va jamais, il y a toujours quelqu'un qui fait ses courses pour lui. Mais depuis un moment, Ifdag le faisait lui-même. Se baladant dans à peu prêt tous les quartiers de la grande citadelle. Ce qui, bien entendu, provoquait chez les habitants une très grande confusion : Pourquoi un magicien si secret, si distant, d'un coup, vient faire ses courses comme tout le monde, comme s'il avait toujours fait sa. Ifdag le faisait pour voir si la personne qui provoque se mal ne se balade pas en ville, car sinon il pourrait le ressentir et peut-être le trouver.

Au troisième jour, Ifdag reçut la réponse du palais de Zird. Les maîtres mage lui demandait de faire très attention, et qu'il ne fallait surtout pas qu'il sache que Loka était parti. Il devait continuer ses recherches, et s'il trouve quelque chose de nouveau, qu'il les prévienne. C'était plus facile à dire qu'à faire. Ifdag avait beau cherché il ne trouvait rien, et pour savoir s'il savait que Loka était parti, il n'y avait aucun moyen de le savoir. Mais Ifdag avait une tel force de volonté que même s'il doutait qu'il y arrive, il continuait, quoi qu'il arrive.

Loka arriva à la porte Sud du village. Une très grande personne lui ouvrit la porte, et le regarda bizarrement, comme si il avait fait quelque chose de mal. En avançant un peu plus dans le village, Loka remarqua que tout le monde le regardait bizarrement, sûrement parce qu'il n'est pas d'ici. Les habitants de Grich ne doivent pas avoir l'habitude de voir du monde venant de Strifeheart. Grich était vraiment un tout petit village, pas plus de cent-cinquante habitants. Il y a très peu de magasins, juste une auberge et une taverne, mais l'auberge fait aussi taverne, sa fait donc deux tavernes et une auberge. La plupart des habitant doivent travailler en tant qu'agriculteur. Peut-être devrait-ils construite d'avantage d'habitations et de boutiques, pensait Loka. En tout cas lui, il devait se rendre à la seul auberge qu'il y avait : l'auberge du Porc Lamellée. Il l'a trouva sans difficulté, car il y avait un blason avec un porc en lamelle au-dessus du bâtiment. Il se dirigea vers l'entrée, et quelqu'un l'interpella avant qu'il puisse entrer.

-« Eh petit. Qu'est se que tu fou ici. C'est pas pour les petits comme toi ici. Rentre chez-toi. Tu n'est pas le bienvenu ici. »

-« Je le serais tant que l'un de mes amis vivant ici le sera ! »

Loka ne savait même pas pourquoi il avait dit sa. Normalement, il est toujours gentil, et ne se sent pas à l'aise lorsqu'il n'est pas chez lui. Mais depuis la disparition d'Audrey, plus rien ne vas bien, et il à du mal à se contrôler certaine fois.

-« Surveille le ton ici petit. Tu te prend pour quelqu'un de fort ou quoi ? En une petite gifle tu tombe a terre moustique. »

-« Laissez-moi tranquille, je veux juste voir quelqu'un après je m'en irais. Alors laissez-moi maintenant ou sinon... »

-« Ou sinon quoi, vermisseau ? Tu va me frapper avec ta petite épée ? Eh ! Les gars ! Venez voir un peu ici, je crois que j'ai trouvé quelqu'un qui pourrait nous intéresser ? Muahahahaha ! »

-« Regardez moi sa. Je suppose que tu viens de Strifeheart, n'est ce pas ? Et nous on aime pas les gens de Strifeheart. Ils puent, ils sont laid, et ils sont bêtes. On dirait ces pigres qu'on trouve dans la forêt ! »

Ils était maintenant quatre, tous de la même taille à peu prêt, devant Loka. Il y en a un qui avait l'air saoul.

-« Laissez-moi tranquille maintenant. Laissez-moi rencontrer mon ami, après je m'en irais. Ne me forçait pas à faire quelque chose que je regretterait. »

Loka essayait de leurs faire peur, en vain.

-« Hahaha, et qu'est se que tu pourrait bien nous faire ? Nous mordiller ? Nous chatouiller plutôt »

Les quatre éclatèrent de rire, et la personne qui avait interpeller Loka en premier, l'attrapa d'un bras et le suspendit au sol.

-« Lâchez-moi tout de suite ou vous le regretterez »

-« Oui, oui, tu vas nous chatouiller on a compris. »

Soudain, quelqu'un s'interposa.

-« Je crois qu'il vous a dit de le lâcher, et vous feriez mieux de l'écouter si vous ne souhaiter pas goûter à ma hache ! »

-« Et qui es-tu pour nous donner des ordres comme sa ? »

-« Je suis celui qui te fera regretter ce que tu fais si tu continue. »

-« Tu vas trop loin misérable humain. C'est toi qui va goûter à mon épée. »

L'homme se jeta sur lui pour lui donner un coup d'épée, mais avec une rapidité incroyable, le sauveur de Loka sorti sa hache et arrêta le coup d'épée, avant de repousser l'homme. Mais l'homme ne se rendit pas. Il attaqua une nouvelle fois, mais cette fois-ci, le mystérieux sauveur ne lui fait pas de cadeau. Esquivant son coup, il planta sa hache dans le bras de l'homme, qui hurla de douleur.

-« Maintenant allez-vous en et n'essayez jamais de vous réattaquer à lui ou sinon je vous tuerais tous. » Avait tonné le mystérieux personnage, et les trois autres hommes attrapèrent le quatrième pour l'emmener dans une hutte, sûrement l'endroit ou l'on soigne les blesser. Loka les observaient se diriger vers la hutte.

-« Vien petit, entrons à l'intérieur. »

Loka, surpris, se retourna et suivit la mystérieuse personne à l'intérieur de l'auberge.

Cette mystérieuse personne était vêtue d'une longue cape noire et avait mit sa capuche, donc Loka n'avait pas vu sa tête. Il était plutôt grand, et avait l'allure d'un guerrier, mais aussi d'un barbare. Il maîtrise une hache comme un barbare ou un nain des montagnes, et possède une agilité digne des elfes. Son courage surpasse celui des humains. Seul sa volonté n'est digne que des faibles. Mais jamais il n'avait eu besoin de volonté car il avait toujours réussi ce qu'il voulait avant d'avoir besoin de s'en servir. Mais qui était-il ?

-« Qui êtes-vous monsieur ? » Demanda Loka.

-« Je m'appelle Rhodarof, Loka »

Alors c'était lui, Rhodarof. La personne qu'il devait rencontrer, qu'il devait trouver, et bien c'est elle qui le trouva.

-« Comment saviez-vous que c'était moi ? »

-« Personne ne vient jamais ici. Seulement ceux qui habitent ici. Et ils se connaissent tous, donc si tu n 'es pas d'ici, forcément ils t'attaquerons. Ils n'aiment pas ceux qui ne sont pas d'ici. »

-« Pourquoi ? »

-« Il y a longtemps, les habitants de ce villages habitaient dans les grande ville. Mais ils ont tous été banni des villes, car ils avaient enfreint des règles. Ils se retrouvèrent tous ici, et formèrent ce village. Ils y vivent depuis des générations maintenant. Personne ne leur rend visite à cause du passé, sauf les grand voyageur qui n'ont pas peur d'eux et qui savent se défendre. Et les habitants d'ici en font de même, tu pense bien. Mais tu devrais aller dormir, j'ai déjà une chambre de prête. D'ailleurs, je t'attendais hier, qu'est se qui c'est passé ?. »

-« D'accord, mais d'abords, dites-moi se que nous allons faire ? »

-« Je n'ai pas de nouvelle de Ifdag, nous attendrons ici jusqu'à se qu'il me prévienne. Alors, dis-moi maintenant »

-« D'accord. Alors vous, vous attendez ici les nouvelles de Ifdag, et moi je repart dans la forêt avec des provisions. »

-« Quoi ? Il y a un problème ? »

-« D'abords, moi et ma copine, Audrey, on se fait attaquer pendant la nuit. Audrey a disparu, je ne sais pas se qui c'est passé. Les personnes qui ont fait sa ont volé nos provisions et ont aussi pris Audrey je suppose. Quand je me suis réveiller, il n'y avait plus que le sac de Audrey, quelque affaires, et mon épée, qu'ils avaient sûrement dû oublier. Donc je retourne la chercher. Je ne l'abandonnerait pas. Je pense que c'est le nouveau groupe de brigands, celui qui prend les filles et laisse les garçons. Ils doivent vivre dans la forêt, et je compte les retrouver. »

-« Ah oui. Et comment compte-tu t'y prendre ? Tu va aller dans la forêt, et fouiller partout ? Alors que la forêt est gigantesque et qu'ils pourraient se trouver n'importe ou ? Tu devrais dormir au moins cette nuit, et on ira chercher demain. Laisse moi t'examiner, tu as l'air blessé. »

-« Non, il faut y aller maintenant. J'ai déjà perdu assez de temps. Il est peut-être en grand danger. »

-« Ecoute, d'habitude, on fait se que je dit, parce que j'ai raison, alors la en plus que tu est petit, tu en fait un peu beaucoup je trouve. Tu es fatigue, tu n'a pas du manger depuis longtemps, et tu est blessé sur le coté. Alors laisse-moi t'examiner, et te soigner, après tu ira dormir. Je préparais se qu'il faut pour demain, tu n'y arrivera jamais seul, et je pense que Ifdag n'est pas prêt d'écrire car il est beaucoup occupé. »

Loka dût avouer que Rhodarof avait raison, il accepta de la tête. Rhodarof examina ces blessures, et comme ce n'était que des blessures superficielles, il réussit à les soigner. En plus d'être sans doute un guerrier puissant, Rhodarof savait aussi utiliser un peu de magie ou au moins suffisamment pour guérir d'une griffe sur les cotes.

-« Comment-es tu fais sa ? » Demanda Rhodarof à Loka.

-« Deux bêtes m'ont attaqué. Les yeux rouges, la peau marron avec beaucoup de poils, et une queue qui ressemble à une flèche d'elfe. L'une d'elles m'a planté ses griffes. »

-« Des gwars d'attaque... »

-« Qu'est se que c'est ? »

-« Des gwars d'élevage corrompu. Ici même, dans ce village, on en élève pour après en faire de la nourriture. C'est très bon d'ailleurs. Mais certains ont été corrompu par se qu'on leur donnait à manger. On ne sait pas vraiment se que c'était ni pourquoi, mais en tout cas ils se sont regroupés dans la forêt et sont très féroce. Tu doit sans doute bien te battre malgré ton jeune âge pour avoir pu sortir vivant de ce combat. Lorsqu'il n'y en a qu'un, sa peut aller, mais quand il y en a deux, ils utilisent une tactique de diversion. Chacun de prendra par derrière mais a des moments différent, si tu vois se que je veut dire. »

-« Oui, c'est bien se qu'ils ont fait. »

-« Bon aller, assez discuter. Va dormir et demain nous verrons se que l'on fait. »

-« D'accord, bonne nuit Monseigneur. »

-« Bonne nuit petit. »

Bien qu'il soit très tard, Rhodarof parlait avec une voix plutôt forte, sans montrer aucun signe de fatigue ou de faiblesse. La journée se finît ainsi, Loka alla s'endormir dans une chambre que Rhodarof avait préparée.

Loka se réveilla, et Rhodarof était déjà debout. Il attendait au fond de la chambre, assit sur une chaise, et semblait perdu dans ses pensées.

-« Vous, vous sentez bien Monsieur ? »

-« Hein ? Oh tu es réveiller. Oui sa va sa va. Et toi comment te sent-tu ? »

-« Bien mieux qu'hier ! »

-« Tant mieux ! Ah oui. J'ai oublier de te dire hier. J'ai remarquer qu'on t'avait lancé un sort de sommeil. Les brigands ont sûrement du te le lancer pour ne pas que tu te réveille. J'ai appris qu'il n'aimait pas tuer, juste volé et kidnapper des filles. Pour en faire quoi ? Je n'en sais rien. Mais nous allons le découvrir. Je ne laisserais pas ta copine entre une fin si atroce. Allez, debout, va manger un peu, et après, nous repartirons dans la forêt. »

-« D'accord. Merci... De m'aider. Je ne me sens pas vraiment à l'aise depuis le départ de Strifeheart. Audrey m'apporté de la bonne humeur, de la joie. Mais depuis qu'elle a disparu, je suis perdu. Je ne sais plus quoi faire. Je n'aurais jamais dû partir de Strifeheart. Je n'aurais jamais dû la laisser venir avec moi. Maintenant, elle est perdu dans cette forêt maudite ! Tout sa à cause de moi, je n'ai pas su la protéger, alors que je lui avais promis... » Loka poussa un long soupir de regret et de tristesse.

-« Tu n'as pas a regretter ton choix. Se qui est arrivé devait arrivé. Et Audrey n'est pas perdue car nous allons la retrouver. Tu devais partir de Strifeheart pour la simple raison que tu étais en danger là-bas. Audrey t'a suivi car c'est ce qu'elle voulait, et je pense qu'elle avait déjà pensé à ce qui aurait pu arriver, à des genres de situations comme celle-ci. Mais elle, elle n'aurait pas désespéré comme sa ! Elle aurait continué sa route, non sans remord ou autre, mais parce qu'elle le devait. Puis elle serait partie te chercher. Et c'est ce que nous allons faire, ils goûteront à ma hache, et à ton épée. »

Loka releva la tête, surpris de la sagesse du guerrier. Il avait lu que les guerriers barbares ne savaient rien faire d'autres que se battre, même s'il n'y avait pas de raison. Mais Rhodarof, lui, semblait aussi sage qu'un magicien, et aussi fort qu'un barbare, ce qui faisait de lui quelqu'un de vraiment puissant. Loka acquiesça de la tête et descendit manger un peu. Le guerrier le rejoignit peu de temps après, avec deux sacs sur le dos.

-« Allez, nous devons y aller. Prend ton sac, et suis-moi. Nous marcherons toute la journée, et nous nous arrêterons uniquement le soir pour manger. Le midi, je trouverai quelques plantes et champignons que tu mangeras en route. »

-« D'accord » Loka mit son sac sur son dos, vérifia son épée et qu'il avait bien tout ce qu'il fallait, puis ajouta « Allons-y, je suis prêt ! »

-« Bien, tant mieux. »

Rhodarof prenait déjà le pas. Loka le suivit, non sans mal d'ailleurs, car il dût courir légèrement au début. Ils prenaient la route de la forêt, la même que Loka avait entrepris dans le sens inverse. Ils arrivèrent à l'entrée de la forêt, avancèrent un peu plus profondément dans la forêt, et le guerrier ne suivit plus le chemin. Il s'arrêta un peu après l'entrée et continua sur la droite en hors-piste. Ils marchèrent toute la journée, et le guerrier ne s'arrêta même pas pour manger le midi. Et Loka n'osait pas le déranger, car Rhodarof semblait recherché quelque chose. Quoi ? Se demandait Loka, mais il n'osait toujours pas lui demandé, de peur de gêner. Le soir, le guerrier s'arrêta enfin. Loka était enfin soulagé. Ils ne c'étaient pas adressé la parole de toute la journée, à part le matin. Mais Loka se décida enfin à parler.

-« Vous semblez cherché quelque chose, quoi donc monseigneur, si je puis vous aider, dite-le moi. »

-« Je pensais que tu avais compris. Je ne peux les repérer à l'oeil nu comme sa, car ils se cachent trop bien. Mais par contre, il y a quelque chose que l'on ne peut réussir à cacher ou plutôt, à diminuer, c'est le bruit. S'ils se cachent dans les environs, je les entendrais, mais bien entendu, il ne faut pas que tu fasses de bruit. Tien, mange, puis dort, demain nous avons encore une grosse journée. »
Loka était très fatigué, il s'endormit très rapidement.

Deux jours passèrent, Loka et le guerrier cherchaient toujours des traces d'Audrey. Rhodarof s'arrêtait enfin le midi, Loka ne pouvait pas vraiment se reposer, mais au moins il pouvait se nourrir. Rhodarof semblait montrer un très grand intérêt à la recherche d'Audrey, mais pourquoi donc ? Loka s'en fichait un peu du moment qu'il l'aide à la retrouver. Pendant c'est deux jour, ils ne rencontrèrent rien de particulier : Juste quelques groupes de pigres. Rhodarof connaissait apparemment cette forêt par coeur, car il s'y déplaçait avec rapidité et efficacité. La nuit tombait, ils parlaient toujours très peu, et Rhodarof entendit un bruit ! Il y avait des personnes pas très loin de là où ils se trouvaient, et ces personnes discutaient. Loka et Rhodarof se cachèrent derrière un buisson, et observèrent les personnes. Ils ressemblaient à des voleurs, ils avaient l'air de bien s'amuser, et regardaient sûrement un butin qu'ils venaient de voler. Par terre était allongé deux corps ou plutôt des personnes car ils ne semblaient pas mort. L'un ressemblait à une fille, et l'autre était une femme. C'était Audrey, et l'autre femme avait dû être attraper-elle aussi. Loka semblait ressentir une grande rage en lui, car le guerrier lui voulait attendre, alors qu'Audrey était juste là. Loka voulait y aller, et massacrer ces brigands.

-« Allons-y, Attaquons-les, ils ont l'air inoffensif ! Et Audrey est juste là. Pourquoi attendons-nous ? »

-« Ne laisse pas la folie et la rage consumer ton corps et ton esprit. Ce sont les faibles qui foncent dans le tas. Tu as l'air plutôt talentueux, mais ta sagesse ne vaux rien. Tu laisse le mal posséder ton corps, et sa te mènera à ta perte. Alors pour le moment, regarde comment font les grands, car tu ne peux y arriver seul, et après peut-être sera-tu assez fort pour contrer se mal. Maintenant tu vas attendre mon signal. En attendant, tu reste ici. »

-« Bien, excusez-moi. »

Loka essaya de penser à autre chose, il savait que Rhodarof avait raison, mais la corruption du mal en lui était très forte, et il n'arrivait pas à le dire, à le faire comprendre. Un mal lui monta à la tête, il fermait les yeux pour essayer de le contrer. Mais rien à faire, le mal persistait, et il ne savait pas ce que c'était. Il commençait à avoir chaud, malgré la fraîcheur de la forêt, il ne sentait plus de force en lui. Loka s'écroula au sol, sur des feuillages, se laissant à découvert des brigands. Il s'évanouit.

Les brigands se tournèrent vers l'endroit ou il se trouvait, et s'en réfléchir, ils foncèrent sur lui pour l'attaquer avec une très grande rapidité. Rhodarof était déjà sorti de sa cachette, et arrêta le coup d'épée du premier brigand, qu'il repoussa avec une aisance incroyable. Un deuxième fonçait déjà sur lui, mais Rhodarof n'eût aucun mal à esquiver son coup, et lui planter un coup de hache en pleine poitrine. Il n'en restait plus que trois, le premier venait de se relever, et ils commencèrent à tourner autour du guerrier, qui ne se laissait nullement impressionner. L'un d'eux attaqua, et le guerrier lui coupa son bâton en deux, avant de lui donner un coup de poing pour l'assommer. Plus que deux, mais cette fois, le guerrier n'attendit pas, il attaqua le premier. Fonçant avec une très grande rapidité, il planta sa hache dans la tête d'un brigand, sans que celui-ci ai eût le temps de faire quoi que se soit. Il n'en restait plus qu'un, et il semblait terrifier. Il commença à faire demi-tour et à courir pour s'échapper. Rhodarof ne lui en laissa pas le temps, il sortit une hache de lancer de son dos et la lança dans le dos du brigand. Celui-ci s'effondra comme une bête qu'on venait de tuer à coup d'épée ou de hache normale.

Sous les yeux terrifiés d'Audrey, il venait de se passer un massacre. Le guerrier n'avait laissé aucune chance aux brigands, et ils n'avaient rien pu faire face à une telle force. Rhodarof libéra les deux prisonnières, puis se dirigea vers Loka, qui s'était complètement évanouit au sol et ne bougeait pas, comme s'il venait de recevoir un couteau dans le dos.

Loka se réveilla dans la même chambre ou il avait dormit, dans le village de Grich. Il n'y avait personne, même pas un bruit. Loka s'étira, et il lui semblait d'avoir dormir pendant très longtemps. Il descendit les escaliers pour rejoindre la salle commune de l'auberge, et y vit Rhodarof, accompagné d'Audrey et de la mystérieuse femme qui avait été prisonnière des brigands. Loka les regarda un moment, avant qu'Audrey se retourne et se jette dans ses bras. Ils étaient tellement heureux de se retrouver, qu'ils en oublièrent tout le reste, pourquoi ils étaient là, qui étaient là. Sous les regards de Rhodarof et de cette femme, Loka se rendit compte qu'il y avait peut-être encore quelque chose de plus important que de retrouver la fille qu'il aime, Audrey.

-« Merci, Monsieur Rhodarof. Jamais je n'y serais arrivé sans vous. Et vous m'avez protégé d'une mort certaine. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, j'essayais de penser à autre chose, de me concentrer sur ce qui allait se passer, et j'ai senti un mal en moi, un mal très grand et très puissant. Je n'ai pas tenu le coup, j'ai été faible... »

-« Tu as été plus fort que beaucoup de monde l'aurait été. Mais je t'expliquerais tout sa plus tard car nous devons partir, maintenant. Je te présente Mogarde, une voleuse, mais pas n'importe quelle voleuse. Elle travaille pour les Justiciers, un groupe de personnes qui travaillent contre les injustices et aide les gens qui en ont besoin. »

-« Nous sommes des gens redevables aux autres car nous sommes avant tout voleur, mais bon voleur. Vous m'avez sauvé la vie, et je vous en suis donc redevable. Les Justiciers ne me doivent plus rien, et je ne leur dois plus rien, je vous suivrais donc dans votre aventure et vous aiderais comme je le peux. »

-« Tes affaires sont en haut, va les chercher puis nous prendrons la route. »

-« Bien ou allons-nous ? »

-« Tu verras. Aller maintenant, va te préparer. »

-« D'accord. »

Loka monta, et Audrey le suivit. Ils firent leurs affaires, en profitèrent pour reste un très court moment seul, puis redescendirent pour rejoindre Mogarde et Rhodarof qui étaient déjà prêt et les attendaient.

Ils sont désormais quatre compagnons qui se dirigent, bien qu'ils l'ignorent, vers peut-être la fin de cette aventure : Kholog.
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